Que pensent-ils nos hommes, qui ne pratiquent pas le tango, lorsque nous les « abandonnons » pour voler vers d’autres bras ?
Doivent-ils craindre que nos abrazos de velours se transforment en folies horizontales ? doivent-ils craindre de nous perdre ?
Peuvent-ils comprendre ce qui nous pousse à danser encore et encore, à la limite de l’épuisement ?
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